Maïté Camara Lopez : la nouvelle conseillère SHS de SynHERA

Odoo • Image et Texte

L’équipe des conseillères en Sciences Humaines et Sociales se renforce au sein de SynHERA avec l’arrivée de Maïté Camara Lopez. Cette neuropsychologue accompagne à présent les projets wallons en sciences paramédicales.

Les projets de recherche en sciences paramédicales ne cessent de s’accroître au sein de notre réseau. Et bonne nouvelle : ces chercheurs peuvent désormais compter sur un accompagnement spécifique dans leur domaine. En effet, depuis ce mois de mars, Maïté Camara Lopez fait partie de la structure SynHERA, côté wallon. Elle travaille ainsi en étroite collaboration avec les deux autres conseillères en Sciences Humaines et Sociales : Hélène Carmon (en Wallonie) et Anh Thy Nguyen (Région de Bruxelles-Capitale).

Avant d’intégrer SynHERA, Maïté travaillait comme chercheuse à l’ULB. Elle nous explique son parcours : « J’ai suivi des études en neuropsychologie. Mon mémoire portait sur la luminothérapie, et en le réalisant, je me suis découverte ! J’ai compris à quel point ce travail m’avait passionnée. J’ai adoré tant la rédaction que toutes les autres étapes qui composaient ce mémoire. Mon promoteur a proposé ma candidature pour faire un doctorat à Bruxelles, et c’est comme ça que l’aventure de la thèse a débuté ». 

Titulaire d’un doctorat et de deux postdoctorats, cette chercheuse a également une solide expérience en montage de projet puisqu’elle a collaboré à la genèse du programme ROGER. « Realistic Observation in Game and Experiences in Rehabilitation » est un serious game utilisant la réalité virtuelle pour la prise en charge des patients souffrant de troubles cognitifs (plus d’infos sur le projet : http://www.rehal-it.com/). « Il s’agit réellement de recherche appliquée, avec un projet créé et pensé pour les praticiens », ajoute-t-elle.

A présent, cette scientifique entend bien mettre à profit ses compétences acquises durant ses dix années d’expérience de chercheuse au profit du réseau SynHERA. « J’adore cette idée de pouvoir aider des projets à naître et accompagner au mieux les chercheurs. Personnellement, j’ai aussi reçu une aide d’une conseillère scientifique lorsque j’étais à l’ULB, et je sais à quel point cela peut être précieux ! ». 

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